BLOG "EPANOUISSEMENT ET RENAISSANCE.".
LE BLOG DE L'EPANOUISSEMENT, DE LA LIBERTE D'ÊTRE.
OSEZ EXPRIMER VOS DIFFERENCES!
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SE CONNAÎTRE POUR SE REALISER.
- Le 22/08/2016
"Ceci fera de toi une vraie femme qui a su retrouver tout son pouvoir
et sa grandeur.
Si tu veux changer tes rêves en réalité, tu devras apprendre à te connaître.
Plus tu te connaîtras, plus tu t'approcheras de ce que tu désires obtenir."
~ Hernan Huarache Mamani ~
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LE GOÛT PRECIEUX DE CHAQUE JOUR.
- Le 21/08/2016
J'apprends la patience et l'ennui,
Le goût de l'instant, la joie de chaque jour,
J'apprends que la tristesse du coeur est nuage,
Et nuage aussi le plaisir...
Que fais-tu grand-mère, assise là, dehors, toute seule?
Eh bien vois-tu, j'apprends.
J'apprends le petit, le minuscule, l'infini,
J'apprends les os qui craquent, le regard qui se détourne.
J'apprends à être transparente.
A regarder au lieu d'être regardée.
J'apprends le goût de l'instant quand mes mains tremblent,
La précipitation du coeur qui bat trop vite.J'apprends à marcher doucement,
A bouger dans des limites plus étroites qu'avant,
Et à y trouver un espace plus vaste que le ciel.
Comment est-ce que tu apprends tout cela, grand-mère?
J'apprends avec les arbres, et avec les oiseaux.
J'apprends avec les nuages.
J'apprends à rester en place et à vivre dans le silence.
J'apprends à regarder les yeux ouverts et à écouter le vent.
J'apprends la patience et aussi l'ennui:
J'apprends que la tristesse du coeur est un nuage,
Et nuage aussi le plaisir.
J'apprends à passer sans laisser de traces, à perdre sans retenir, et à recommencer
sans me lasser.
J'apprends à me réjouir au début du printemps et à la fin de l'automne,
A voir un arc-en-ciel dans une goutte de pluie,
Et une vie entière dans une gouttelette de soleil qui scintille sur une pierre.
J'apprends que les chemins de divisent et se perdent,
Que les regrets sont des petites pierres pointues qui blessent les mains qui les enserrent
Et qu'il est meilleur que nos mains restent ouvertes...
J'apprends mes erreurs, mes chagrins, mes oublis,
Et toutes les joies qui se faufilent, poissons d'argent dans la nasse de notre vie.
Grand-mère, je ne comprends pas, pourquoi apprendre tout cela?
Parce qu'il me faut apprendre à regarder les os de mon visage et les veines de mes mains,
A accepter la douleur de mon corps, le souffle des nuits et le goût précieux de chaque journée.
Parce qu'avec l'élan de la vague et le long retrait des marées,
J'apprends à voir du bout des doigts et à écouter avec les yeux.
J'apprends qu'il n'est pas de temps perdu ni de temps gagné,
Mais que l'infini est là, dans chaque instant...Cadeau trop souvent refusé dans le torrent
des jours.
J'apprends qu'il faut aimer, que le bonheur des autres est notre propre bonheur,
Que leurs yeux se reflètent dans nos yeux et leurs coeurs dans nos coeurs.
J'apprends à marcher sur des sentiers étroits sans peur,
A regarder les montagnes qui se profilent au loin et que je n'atteindrai pas:
J'apprends les milliers de pas qui ont marché avant moi sur ces mêmes sentiers.
J'apprends les vieilles traces et les jeunes nuages..
J'apprends qu'il faut être prêt à partir quand le vent souffre.
Qu'on avance mieux en se donnant la main.
Que même un corps immobile danse quand le coeur est tranquille.
Que la route est sans fin, et pourtant toujours exactement là.
Et avec tout ça, pour finir, qu'apprends-tu grand-mère?
J'apprends, dit la grand-mère à l'enfant, j'apprends à être vieille."
Nom d'auteur inconnu.
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NOTRE PENSEE CREE NOTRE REALITE.
- Le 20/08/2016
"Tu peux choisir un état d'être avant qu'une chose arrive, tout comme
tu peux le faire après qu'elle soit arrivée.
Ainsi, tu peux créer ton expérience, et non te contenter de l'avoir.
En fait, c'est ce que tu es en train de faire maintenant. A chaque instant.
Mais tu le fais peut-être inconsciemment.
Tu es peut-être somnambule. Dans ce cas, il est temps à présent
de te réveiller.
Mais tu ne peux être totalement réveillé et penser en même temps.
Penser est une autre façon d'être en état de rêve.
Car ce à quoi tu penses est l'illusion. Tu vis dans l'illusion, tu t'es
placé là et tu dois y penser. Mais rappelle-toi!
La pensée crée la réalité. Alors, si tu as crée une réalité que
tu n'aimes pas, n'y pense plus."
~~Neale Donald Walsch~~
Pensons donc, très souvent, à la réalité à laquelle nous aspirons, nous
voulons vivre !
Comment l'envisagez-vous, la visualisez-vous?
~~Illustration Sarah Oyetunde~~
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LA LIBERTE DE VIVRE SA VIE.
- Le 19/08/2016
"Puisque vous allez de toute façons créer quelque chose, puisque vous ne pouvez pas
éviter de rêver, pourquoi ne pas en profiter pour créer un rêve magnifique?
...Alors, pourquoi ne pas rêver d'une manière agréable et profiter pleinement de
votre rêve?
Si vous êtes capable de croire en vos limites, pourquoi ne pas croire en la beauté et
la puissance de la vie qui se manifestent à travers vous?
...Le rêve de votre vie est constitué de milliers de petits rêves dynamiques.
Les rêves naissent, grandissent et meurent, autrement dit, ils se transforment.
...Ils remettent en question le tyran, le juge et la victime que vous avez dans la tête.
Ils remettent en question le moindre petit accord qui vous rend la vie difficile.
Si vous remettez en question vos croyances, en vous demandant simplement si ce
que vous croyez est vrai, vous risquez de découvrir quelque chose de très intéressant:
durant toute votre vie, vous vous êtes efforcé d'être à la hauteur des exigences d'autrui
et vous avez gardé votre propre satisfaction pour la fin. Vous avez sacrifié votre liberté
personnelle pour vivre en fonction du point de vue des autres.
...Pourquoi ne pas vous donner la première place, fût-ce pour la première fois de votre
vie?
Vous pouvez réapprendre à vous aimer en vous acceptant de manière inconditionnelle.
Et vous pouvez commencer à esprimer votre amour inconditionnel envers votre moi
authentique.
Entraînez-vous à l'aimer de plus en plus.
Quand vous aimerez d'une manière inconditionnelle, vous ne serez plus une proie
facile pour les prédateurs extérieurs qui souhaitent contrôler votre vie.
Vous ne vous sacrifierez plus pour personne. Si vous pratiquez l'amour de soi, vous
en deviendrez un maître."
~~Extraits du cinquième accord de Don Miguel Ruiz~~
~~Mosaïque inspirée de lapeinture de Klimt. ~~
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CHEVAUCHER LE TIGRE...
- Le 18/08/2016
Selon les chamans toltèques, il y a deux sortes d’hommes sur terre : ceux qui prennent le temps de
s’interroger sur les gens et sur le sens de l’univers et de se demander qui ils sont et ce qu’ils font là,
des hommes que les réponses toutes faites proposées par la société dans laquelle ils vivent ne satisfont
pas et qui vont faire de ces deux questions le fondement d’une vie nouvelle, imprégnée d’un irrésistible
parfum de liberté.
Et puis il y a les autres, ceux qui, riches ou pauvres, cultivés ou non, se seront très tôt laissés hypnotiser
par le brouhaha, les nécessités et les mirages de la vie quotidienne au point de ne jamais trouver le
temps de se poser ce genre de questions, les trouvant inutiles ou même absurdes, une attitude et un
choix que les chamans appellent « succomber à l’hypnose socialitaire ».
Aventuriers de l’esprit, les premiers, s’ils persévèrent, ont une chance de devenir les créateurs de leur
vie, portés par l’énergie du mystère de l’existence parce qu’ils l’auront regardé en face et accepté.
Les seconds vivront le plus souvent dans le conformisme de leur époque, serviteurs du système en
place, tournant le dos à l’inexpliqué et, par là, à eux-mêmes.
Le monde est en effet le miroir que chaque individu perçoit, une projection de soi, un processus circulaire
que les chamanes appellent « anneau de pouvoir ».
Comme le miroir, le monde ne nous renvoie que la représentation qu’en fabriquent nos perceptions
personnelles, nos croyances et nos humeurs. Le vrai pouvoir de changer les choses se découvre et
s’exerce à l’intérieur de soi, sur l’intérieur de soi.
Tous les psychothérapeutes dignes de ce nom et tous les chamans pratiquant la guérison spirituelle
depuis de longues années sont amenés un jour ou l’autre à se demander pourquoi il est si difficile
pour l’être humain de changer des croyances ou des comportements qui sont pourtant, à l’évidence,
la cause de tant de souffrances, de mal-être et même de graves maladies. Mais il leur suffit de se
rappeler combien de mémoires ancestrales, prénatales, familiales, éducatives et socialitaires ont
façonné leur personnalité pour avoir la réponse : l’homme est littéralement et jusqu’au plus profond
de ses cellules infiltré de programmations d’ordre karmique, culturel et affectif qui sont autant d’obstacles
à tout changement.
Travailler sur soi devient ainsi le seul espoir pour l’homme de se libérer et de devenir celui que, tout au
fond de lui, son nagual lui murmure qu’il peut être. Il est bien placé pour cela puisqu’en lui résident tous
les changements et les potentiels créatifs de l’univers !
« L’homme ne naît pas libre mais il est libre de se libérer. »
C’est donc pour lui à la fois une chance extraordinaire d’en avoir un jour le désir et sa plus grande
responsabilité.
Les sages taoïstes désignent le travail sur soi par l’expression « chevaucher le tigre ».
Le tigre représente à leurs yeux cette force irrépressible qui fait mourir et renaître en permanence tous les
êtres. En travaillant sur soi, on ose affronter le tigre au lieu de fuir, on bondit sur son dos, on l’enfourche
et on se fond dans sa force pour mieux orienter celle-ci pendant que s’éveille peu à peu la conscience de
notre identité avec lui."
Auteur: Paul Degryse.
Peinture Nathalie Boissery-Demene.
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OUVRIR SES BRAS AU BONHEUR !
- Le 17/08/2016
Êtes-vous de ceux qui goûtez la vie du bout des lèvres?
Ou bien l'enlacez-vous dans une danse rayonnante?
Certains ont le goût du bonheur, voyant en chaque évènement une
étincelle de joie à vivre; ils ont la main verte, comme on dit, faisant
germer les graines de bonheur autour d'eux, comme autant de
coquelicots dans un champ de blé...
Vous savez combien j'aime les histoires; je vous en partage une petite,
savoureuse et nourrissante:
"Nous traitons nos joies comme une de mes voisines, les groseilles.
-"Fais-nous un gâteau aux groseilles", disaient les enfants, lorsque
les groseilles commençaient à grossir. Mais la mère ne voulait pas
entendre parler de les cueillir vertes.
Il fallait attendre qu'elles mûrissent.
Quand les groseilles furent mûres, les enfants les réclamèrent pour
la table, mais la mère décida qu'elle en ferait de la gelée.
Quand le moment de faire de la gelée fut venu, la mère voulut attendre
de terminer ce qu'elle faisait, afin de pouvoir y consacrer tout son temps.
Mais hélas, quand ce bienheureux moment fut arrivé, le soleil, les oiseaux
et un orage inattendu avaient dépouillé tous les buissons!
Voilà comment nous agissons avec les joies et les bénédictions de chaque
jour.
Nous disons: Oh combien, j'aimerais jouir de ce moment, si... et nous
laissons l'épreuve, les difficultés ou le souci l' empoisonner.
Nous espérons toujours pouvoir, une fois, jouir véritablement de notre
santé, de notre foyer, de nos amis.
Mais qui peut nous garantir que, lorsque ce jour si longtemps différé
arrivera, les fruits seront encore aux buissons?"
~~O.S. Marden~~
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LES RENCONTRES MAGIQUES ...
- Le 16/08/2016
"Il est des rencontres magiques qui surgissent dans notre vie sans prévenir ...
Il est des rencontres qui ont un caractère magique par la qualité de ce qu'elles
révèlent en nous ou chez l'autre ...
Il est des rencontres qui nous appellent au plus profond de notre être, du plus
lointain de notre histoire ...
Il est des rencontres qui éclaireront notre parcours de vie d'une Lumière plus
vive , plus féconde ...
Je souhaite à chacun de pouvoir accueillir l'une de ces rencontres si elle fait irruption
dans sa vie et de s'y abandonner de tout son coeur !"
~~Jacques Salomé~~
~~Peinture Mary Alayne Thomas~~
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C'EST QUOI LE BONHEUR ?
- Le 15/08/2016
"Dis pépé, c'est quoi le bonheur ?...
Le bonheur mon enfant, c'est d'avoir des yeux...
Le bonheur, mon petit, c'est d'être fasciné
Par une perle de rosée, courant sur le fil de la vierge,
Dans une aube radieuse au soleil qui émerge,
Cordiale promesse d'une belle journée.Le bonheur, tu sais, c'est pouvoir admirer,
Dans l'azur doré d'un printemps qui s'éveille,
Un magnifique rapace qui, de là-haut, surveille
Le lapereau étourdi qui a quitté son terrier.Le bonheur, mon garçon, c'est pouvoir arpenter
La garrigue provençale, ta main dans la mienne :
Balade matinale, avant que ne survienne
Le vent brûlant, au zénith de juillet.Le bonheur, mon enfant, c'est quand la pluie est tombée
Et fait que la terre craquelée et agonisante,
Exhale soudain une odeur douce et enivrante,
Pour remercier le ciel de la bienfaisante ondée.Le bonheur, vois-tu, c'est, quand finit l'été,
Cueillir une pomme au sein du verger familial,
L'essuyer sur sa blouse, d'un geste machinal,
Puis mordre à belles dents, dans sa chair sucrée.Le bonheur, tu sais, il se trouve n'importe où :
Se coucher dans le pré, écouter chanter l'herbe,
Le souffle du Mistral dans le chêne superbe,
Le murmure du ruisseau, polissant ses cailloux...Je te souhaite des choses pures, du bonheur !
Point n'est besoin d'honneurs et de richesses.
Qu'un avenir utopique, et de folles promesses,
Ne puissent jamais, ô jamais ! Endurcir ton cœur."~~Pierre Clérico~~