BLOG "EPANOUISSEMENT ET RENAISSANCE.".
LE BLOG DE L'EPANOUISSEMENT, DE LA LIBERTE D'ÊTRE.
OSEZ EXPRIMER VOS DIFFERENCES!
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LORSQUE LA VIE EST RELIEE AU SPIRITUEL
- Le 07/11/2015
« Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?
L’idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l’air et le miroitement
de l’eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?
Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.
Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les
bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d’insecte sont sacrés dans le
souvenir et l’expérience de mon peuple.
La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l’homme rouge.
Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu’ils vont se promener
parmi les étoiles. Nos morts n’oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de
l’homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous.
Les fleurs parfumées sont nos sœurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères.
Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l’homme,
tous appartiennent à la même famille.
Aussi lorsque le Grand Chef à Washington envoie dire qu’il veut acheter notre terre, demande-t-il
beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu’il nous réservera un endroit de façon à ce que
nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants.
Nous considérons donc, votre offre d’acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile.
Car cette terre nous est sacrée.
Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n’est pas seulement de l’eau
mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler
qu’elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l’eau claire des lacs parle d’événements et
de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.
Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et
nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous
rappeler, et l’enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous
devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère.
Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble
pour lui à la suivante, car c’est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont
il a besoin. La terre n’est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu’il l’a conquise, il va plus loin.
Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et
cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli.
Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme
les moutons ou les perles brillantes.
Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un dése
Il n’y a pas d’endroit paisible dans les villes de l’homme blanc. Pas d’endroit pour entendre les
feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d’un insecte. Mais peut-être est-ce
parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les
oreilles.
Et quel intérêt y a-t-il à vivre si l’homme ne peut entendre le cri solitaire de l’engoulevent ou les
palabres des grenouilles autour d’un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas.
L’Indien préfère le son doux du vent s’élançant au-dessus de la face d’un étang, et l’odeur du vent
lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon.
L’air est précieux à l’homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle.
La bête, l’arbre, l’homme. Ils partagent tous le même souffle.
L’homme blanc ne semble pas remarquer l’air qu’il respire. Comme un homme qui met plusieurs
jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez
vous rappeler que l’air nous est précieux, que l’air partage son esprit avec tout ce qu’il fait vivre.
Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir.
Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un
endroit où même l’homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés.
Nous considérerons donc votre offre d’acheter notre terre. Mais si nous décidons de l’accepter, j’y
mettrai une condition : l’homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.
Je suis un sauvage et je ne connais pas d’autre façon de vivre.
J’ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l’homme blanc qui les avait
abattus d’un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer
fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.
Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ?. Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourrait
d’une grande solitude de l’esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme.
Toutes choses se tiennent.
Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos aïeux.
Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants qu’elle est enrichie par les vies de notre race.
Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère.
Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils
crachent sur eux-mêmes.
Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme ; l’homme appartient à la terre.
Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille.
Toutes choses se tiennent.
Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre.
Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu’il fait
à la trame, il le fait à lui-même.
Même l’homme blanc, dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble,
ne peut être dispensé de la destinée commune. Après tout, nous sommes peut-être frères.
Nous verrons bien. Il y a une chose que nous savons, et que l’homme blanc découvrira peut-être
un jour, c'est que notre dieu est le même dieu.
Il se peut que vous pensiez maintenant le possédercomme vous voulez posséder notre terre, mais
vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l’homme, et sa pitié est égale pour l’homme rouge et le blanc.
Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c’est accabler de mépris son créateur.
Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre
lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.
Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu’à
cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l’homme rouge.
Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous
massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de
beaucoup d’hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.
Où est le hallier ? Disparu. Où est l’aigle ? Disparu.
La fin de la vie, le début de la survivance. »
Chef Seattle, 1854
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A MA FENÊTRE, LA PAIX DU MONDE.
- Le 06/11/2015
Imprégnez-vous de la photo en laissant l'imaginaire s'évader, s'amuser,
éclore des sentiments...
Imaginez une histoire, un conte, une fable, un haïku qui s'inspirerait de
cette vision, à votre guise.
Ajoutez une conclusion positive, un rien philosophique.
*
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LES CONTRASTES DE LA VIE
- Le 05/11/2015
Vivre le contentement, c'est expérimenter un état d'Être, né de la plénitude.
C'est accorder son attention au bonheur que nous vivons, plutôt qu'au manque que
nous vibrons parfois.
Il est des personnes qui oublient d'être heureux de leur présent, pensant qu'ailleurs
ce sera l'Eldorado...le contentement est en soi, non ailleurs!
C'est aimer ce que l'on a, ce que l'on aime et ne pas désirer toujours plus parce que
c'est "nouveau".
Dès lors que l'on aime ce que l'on a, nous sommes dans un sentiment de complétude,
de gratitude.
*
J'aime à remercier les moments que je vis, car dans les grandes lignes, je les ai choisis.
Nous nous plaignons de tant de choses, nous qui avons le privilège d'avoir le ventre plein.
Si nous vivons l'insatisfaction, c'est que quelque chose en nous est vide!
Et le matériel ne nous comblera que le temps de l'illusion...
Peut-être est-ce une absence de sens?
Une absence d'Amour?
Une absence de reconnaissance, de gratitude?
Lorsque nous sommes à la dérive, nous sommes un peu comme ces feuilles mortes qui
planent du pavé au ruisseau, suivant son cours sans l'avoir décidé.
*
Le soir, à l'heure des étoiles, j'aime à remercier pour tous ces petits moments de
contentement, donnant à la vie un goût en plus; parfois, il semble amer, mais c'est
pour mieux apprécier la douceur qui sucre la vie...nous avons besoin de ces contrastes
pour l' apprécier.
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NOURRIR SON ÊTRE...
- Le 04/11/2015
Vous offrez-vous des pauses afin de respirer ou restez-vous le nez sur le guidon,
trop pressé par la vie qui essore?
La vie respire, inspirons la vie!
La pause peut être brève, le temps d'une gorgée d'eau bue lentement en regardant
les nuages pomponner le ciel.
Elle peut flâner le nez au vent, dans une rue voisine, le regard du touriste émerveillé,
figeant l'instant de charme d'une photo.
Elle peut s'attarder en gribouillant sur un carnet, en dégustant un cappuccino;
elle peut sommeiller en mini sieste programmée en écoutant les vagues s'affaler sur
le rivage; elle peut s'étirer plus longuement le temps de faire quelques rangs de crochet,
un ATELIER DE PROSE. ou d' EXPRESSIONS CREATIVES. avec Charlotte!
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Ces respirations du corps inspirent la créativité, nourrissent l'âme et réjouissent
votre enthousiasme assoupi d'habitudes.
Elles donnent du temps au temps, vous qui pensiez ne pas en avoir assez!
Elles insufflent l'énergie.
Créez votre espace d'inspiration, réservez-vous cette parenthèse avec vous.
Offrez-vous cette bulle bienfaisante, un dépaysement dans votre "faire" afin de
vous relier à votre "être".
Reliez-vous à ce que vous aimez afin d'imaginer les pauses bienveillantes que vous
allez vous offrir cette semaine: vous choisir de la laine pour vous tricoter une
écharpe toute douce, rempoter les plantes, aller au cinéma, flâner au marché aux
fleurs, vous choisir un livre, organiser une soirée-surprise, préparer un week end
dans une ville inconnue....
Ces moments enrichissent votre terreau naturel!
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ALLER VERS SOI.
- Le 03/11/2015
Avez-vous remarqué que dans un premier temps, la vie vous offre des choix à faire.
Des choix qui correspondent à votre notion de l'équilibre,
après une valse hésitation entre le mental qui est raisonnable, et les désirs qui vous
jubilent déjà. Les plus enthousiastes choisiront les élans de leur cœur, alors que les
raisonnables écouteront leurs peurs.
Ces choix réalisés vous indiquent une direction.
*
Faire des choix conscients, c'est se projeter dans ce qui sera et écouter ce qu'exprime
votre corps. Il traduit votre anxiété, ou votre élan du cœur.
Notre corps a son langage pour transcrire nos émotions...
*
Les bonnes questions à se poser:
-Êtes-vous important pour vous?
-Vous choisissez-vous dans vos choix d'option?
-Quelle place vous donnez-vous?
-Choisissez-vous de vous faire du bien?
-De vous respecter?
-De vous honorer dans ce qui vous fait sens?
Nous sommes nés pour incarner qui nous sommes, afin d'exprimer notre unicité.
Nous avons tous quelque chose d'unique à offrir au monde...
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CHASSER LES NUAGES...
- Le 02/11/2015
Il arrive parfois que notre esprit s'assombrisse, habité d'idées noires.
Le plus souvent notre anxiété nait de pensées dues à l'imagination qui se nourrit de
nos croyances et de nos peurs latentes.
Par ailleurs, stagner dans cette humeur a des effets plutôt délétères sur notre santé
et notre humeur; même notre entourage s'en plaint!
Si nous ne disposons pas des moyens de changer la situation, choisissons de la vivre
au mieux!
Pourquoi demeurer dans cet état d'esprit, alors qu'il est dans notre pouvoir
de pivoter positivement...
*
Reconnecter ses pensées à ce que l'on aime, à ce qui nous fait sens est un processus
d'alignement des plus efficaces pour se recentrer!
-Si vous tenez un cahier d'expressions créatives et que vous faites les exercices que
je vous propose, vous êtes chez votre meilleur ami: celui qui vous connaît bien, et qui
vous veut du bien!
Le feuilleter est déjà réconfortant et vous rassemble.
-Si vous écrivez de temps à autre, laissez couler vos mots anxieux afin de libérer les
émotions négatives.
Vous pouvez aussi ajouter un petit dessin exprimant votre sentiment.
-Si vous aimez les images, faites-vous des tableaux de tout ce que vous aimez, dans tous
les domaines de votre choix sur Pinterest. Les regarder, c'est comme rentrer chez soi!
Vous pouvez choisir comme thèmes, par exemple, les musiques qui vous font du bien, les
personnes qui vous inspirent, les activités qui vous rendent heureux et vous font oublier
le temps, les lieux que vous aimez, les voyages que vous projetez, les films cultes selon vous,
tout est possible!
Se sentir bien est une orientation de nos pensées, l'aptitude à voir le meilleur à vivre et
choisir de le vivre! Chaque jour passant est un jour de notre vie; rendons-le heureux!
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APPRIVOISER LE TEMPS
- Le 01/11/2015
- Dans JOURNAL D'EXPRESSIONS CREATIVES
Nous avons un rapport difficile avec le temps, notre culture l'ayant assimilé au travail,
à l'argent, au profit. Cette croyance bien ancrée se perpétue dans la mesure où nous
l'intégrons dans notre quotidien, où nous courons après lui, comme un hamster dans
sa roue!
Cependant, le temps nous appartient, comme il nous appartient de le vivre dans la
philosophie de notre choix!
C'est nous qui créons notre temps, dans la mesure où il est notre vie!
*
Allons-nous le brader mécaniquement à un rythme social, industriel, politique?
La plupart du temps, ;) , nous le segmentons du lundi au vendredi, en tranches horaires,
en plages "off", entre travail, famille, système scolaire.
Les ponts du mois de mai, les vacances, les week end étant la respiration:
reprendre son souffle.
*
Dans notre besoin de temps à vivre, se cache un fou désir de vivre ce qui donne du sens,
de la qualité, de l'harmonie, de la plénitude, de la Vie, des sentiments ...
-Qu'avez-vous envie de ressentir, d'Être, de Faire?
-Si vous aviez plus de temps, comment serait votre vie?
*
En vous attachant à ce questionnement, prenez une pile de magazines et découpez
intuitivement les réponses qui vous viennent, sous forme d'images, de mots...
-Faites un collage exprimant la plénitude retrouvée dans un rythme plus humain.
-Ajoutez une phrase clé, ou les paroles d'une chanson....
-Comment vous sentez-vous?
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VIVRE EN COHERENCE!
- Le 31/10/2015
Vivre en cohérence avec soi-même, c'est se respecter dans ses valeurs, dans ses goûts
et sa forme physique; C'est vivre en harmonie avec qui l'on est et ce que l'on fait.
Il arrive parfois que nous nous en écartions insidieusement, accaparés par le monde
du travail, par des choix de vie qui donnent plus de pouvoir au matériel qu'à l'Être.
Il faut parfois un déclic brutal afin de nous faire prendre conscience de ce décalage
entre ce que l'on vit et ce que l'on est.
Une sérieuse remise en question s'impose alors.
C'est parfois tout un défi que de se relier à ses essentiels, tant il est simple de se perdre
de compromis en compromis.
La réponse est en nous-même, dans l'enthousiasme que l'on vit chaque jour levant, aligné
à qui l'on est et à notre idéal de vie.
-Vous sentez-vous libre d'exprimer qui vous êtes, en congruence avec vos pensées, vos
paroles, vos actions?
-Êtes-vous en harmonie entre votre paraître et votre Être?
-Vous sentez-vous heureux et reconnaissant de ce que la vie vous donne?
-Êtes-vous en accord avec vous-même?
Que l'extérieur incarne qui vous êtes intérieurement, qu'il soit votre fidélité à vous-même!