BLOG "EPANOUISSEMENT ET RENAISSANCE.".

Êtes-vous de ceux qui se plaignent souvent, prenant les autres à témoin de leur malchance,

cherchant à attirer la compassion, le soutien d'autrui en attirant  l'attention sur vous?  

                  Nous avons tous en nous un côté victime, mais à des degrés différents.

Devenir conscients de ces états inconscients devenus habituels nous permet de maitriser

                                                            notre existence.

                -Quelques traits caractérisant la personne se sentant victime:  

.Ce n'est jamais leur faute, étant victime d'une machination les laissant pantelantS

                                                              sans défense...

.Combien même, ils pourraient solutionner leur problème, un autre s'abatterait sur

                                            eux! La loi des séries leur est familière... 

.Ils parlent souvent de leur passé, qu'ils  assimilent responsable de leur détresse

actuelle, même si quarante ans ont passé depuis. Et que les traumatismes de leur

  enfance auraient pu être digérés par une thérapie, par exemple, s'ils avaient voulu améliorer

                                                                     leur état d'Être. 

.Ils culpabilisent les autres, disent volontiers qu'ils se sont sacrifiés pour eux:

                                                    " avec tout ce que j'ai fait pour toi..."  

.Ne prenant pas leur responsabilité, ils blâment les autres des conséquences et

                                                            des manques qu'ils vivent.

                        .Ils se plaignent de leurs manques sur lesquels ils polarisent..

.Souvent dans leur passé, ils sont peu dans leur présent et s'inquiètent pour leur

                                                                             futur.     

                                                            .Ils se sentent incompris.  

       .Ils ramènent tout à eux, n'étant pas ouverts aux autres, ne les écoutant pas.    

.Ils attendent beaucoup des autres, de la société prenant peu d'initiatives et

                                                                  d'engagement.    

.Ils se trouvent des excuses, manipulant volontiers leur entourage afin de les culpabiliser.   

Recherchant depuis l'enfance à attirer l'attention et la compassion d'autrui sur leur

 détresse, ils ont cultivé la croyance  que le bonheur engendrerait la solitude, et le

                                                                        fuit presque!

          Ils préfèrent donc être dépendants d'autrui, quitte à être un poids pour eux. 

Par leur attitude négative, ils s'attirent donc des situations dramatiques les

confortant dans leurs croyances. Lassant leur entourage de leurs jérémiades et

                  de leur manque d'initiatives, ils s'isolent dans l'aigreur.     

          Leur ego n'aime pas que l'entourage relativise leur état de victime.

Pourtant, c'est dans cette remise en question et dans la prise en mains de leur vie,

qu'ils s'apercevront que leurs croyances définissent ce qu'ils vivent, que leurs

                                  attitudes engendrent des situations négatives.

Au lieu de penser et parler continuellement de leurs problèmes, ils chercheront

 alors des solutions, choisiront d'être maîtres de leur vie, et de s'orienter vers ce

                                                      qu'ils veulent vivre, ressentir. 

                                       Ils deviendront alors créateurs de leur vie.    

      Il est conseillé  de se faire accompagner afin de s'aider dans ce gros chantier :

C'est travailler sur des blessures non cicatrisées, des croyances obsolètes et une mise en

                                           pratique d'un autre mode de perception...

                                c'est s'autoriser à devenir enfin réalisateur de sa vie.

                                     C'est pouvoir enfin exprimer sa liberté d'Être !

          http://charlottesaintonge.e-monsite.com/pages/choisir-d-etre-accompagne/accompagnement.html

                                                    ~~Peinture Pragati Sharma~~

Avez-vous remarqué combien les états de stress, combien les émotions comme la peur,

                   le chagrin, la colère bloquent notre énergie, notre créativité?   

Nous ne sommes plus en état de réceptivité, mais de tension fixée sur une option.   

C'est comme si le sujet de notre stress était plus important encore que notre

                                          harmonie, que notre bien-être...

Comme si nos pensées négatives tournant en boucle avaient un quelconque

pouvoir sur nous, anesthésiant notre libre arbitre et notre capacité à Être... 

Curieusement, dès que l'on sent poindre la crispation, que l'on se dit mentalement

             "tu te fais du mal" notre tension diminue, notre anxiété s'aplanit.

               Comme s'il suffisait de prendre conscience du mal que l'on se fait,

                                                             afin de le résorber.   

Comme si notre bienveillance prenait le pouvoir sur nos forces obscures...que l'on

                                                   devenait maître de notre vie.

Comme si notre capacité à nous aimer écrasait notre capacité d'auto-destruction. 

                                                ~~Peinture Joséphine Wall~~

La tristesse est un 'cadeau' que l'on se fait dès lors que l'on se penche à son

                chevet. Soit que l'on s'y morfond, soit on entre en réactions...

Derrière le chagrin, c'est souvent sur soi que l'on pleure. En s'ouvrant

aux émotions qui nous altèrent, en les ressentant sans les chasser, en les

                  apprivoisant, se dévoilent une infinité de désirs frustrés...

Et même si la tristesse n'est qu'un vague à l'âme, un nuage de notre humeur,

                                                        que nous dit-elle?

-Quel désir se cache derrière elle?

-Quelle est la  peur qui resurgit:

.La peur du manque?

.La peur de la solitude?

.Le manque de soutien?

.Un désir d'estime, d'approbation?

.Un  besoin de contrôle?

.Une envie de changement?

Derrière toutes nos émotions échevelées, comme la colère, la déception,

le doute, le dégoût...c'est la peur qui resurgit: la peur de la trahison, de

 l'abandon, du manque...Et derrière  cette peur, crie notre besoin d'être

                             aimé, chéri, entouré, encouragé, sécurisé.

Nous ne sommes pas nos émotions, elles ne sont que des états passagers,

                                          des nuages à regarder passer...

                              Ne pas s'y attacher, ne pas s'identifier à elles...

Elles ne font que passer tant que l'on ne s'y complaît pas. En s'ancrant dans

le présent, en  ne ruminant pas les douleurs, les rancoeurs d'un autre temps.

Un jour viendra,  où notre ressentiment s'effacera. Le pardon naîtra alors.

                                                Et la vie s'élargira enfin!

Nous sommes des êtres créatifs, destinés à des apprentissages nous

 accomplissant. Et les épreuves que nous endurons, les chagrins qui nous

                                               broient le coeur en font partie.

                            Mais nous l'oublions souvent, par faim d'amour...

              la liberté d'expression de notre âme est dans notre coeur ouvert.

                                              ~~Peinture Valérie Sjodin ~~

Lorsque vous vous sentez stressé, quelle est la véritable émotion qui vous bouleverse?

                                  L'anxiété, l'exaspération, la frustration, la colère...

Ce terme devenu générique cache le message que notre cerveau, notre corps tentent de nous

communiquer. Or, l'émotion que nous ressentons est un guide sur la façon dont nous vivons

                                                                      un évènement.

            Aucune situation ne peut nous faire du bien ou du mal, sans notre participation.


-Comment interprétez-vous  ce qui se passe, ou ne se passe pas dans votre vie?

-Quelles sont les pensées qui suscitent une telle émotion, dans ce contexte?

-Quelle analogie faites vous avec un souvenir enfoui, où vous êtes senti abandonné, trahi...

-Quelle partie de votre corps désespère particulièrement derrière cette manifestation? 


           Derrière le voile de l'émotion, se cachent  le manque, le besoin à combler.

          La prochaine fois que vous vous sentirez stressé, identifiez votre émotion.

         Et rappelez-vous qu'elle n'est que le fruit d'une pensée née d'une analogie.

Ce n'est pas la situation en elle même qui est stressante, mais l'interprétation que l'on

                                                                            en fait.
 

                                                    ~~Peinture Claudia Tremblay~~

 

                                       Contemplez cette peinture quelques instants...

                                Imprégnez-vous de ses couleurs, de ce qu'elle dégage...

                                                         Que vous suggère-t'elle?

                                            Ressentez-vous une émotion particulière?   

                                                             Quelle est son énergie?

                                            Quel est son message vous concernant? 

                                               Quels mots vous viennent à l'esprit?

                                           Ecrivez une histoire née de vos ressentis.

                                                        Quel titre lui donneriez-vous? 

                                                                   Que vous dit-elle?

                                                                                  *

Si vous aimez aérer vos pensées, écrire pour le plaisir, vous offrir une pause ludique

               et créative, rejoignez mes ateliers de prose personnalisés via Internet!

                                                                  Tarif et modalités:

                         http://charlottesaintonge.e-monsite.com/pages/atelelier-de-prose.html 

                                            Savez-vous évaluer vos compétences?

Par compétence, j'entends l'ensemble des savoirs (savoir-être et savoir-faire)acquis

                                                         au cours d'une vie.  

                                                  Je distinguerai toutefois:

                        -Le savoir, acquis par les études, la lecture, les formations.

                                                  Il s'apparente à "je connais"...

         -Le savoir-faire, acquis par l'expérience et la pratique de méthodes et d'outils.

                                        Il équivaut à un "je maîtrise, suis capable de"...

 -Le savoir -être, qui représente l'inné, le talent, un comportement, une attitude relationnelle

                                                pouvant se traduire par:" je suis"...  

Et comme une théorie n'est que vent s'il n'est pas étayé par une pratique, je vous propose

un petit jeu ludique vous permettant de vous situer au niveau de vos compétences: 

Parmi les actions entreprises aujourd'hui, quelles sont celles qui ont mobilisé votre

                                        savoir-être, votre savoir-faire et votre savoir?   

La compétence ultime sera la capacité d'intégrer les trois ressources, fondre le Faire en Être,

                                                          l'abstrait en concret.   

                                     Cet article est né d'une réflexion concernant :

1/ des personnes en recherche  d'emploi, qui font parfois l 'impasse sur un ou deux

           aspects de leurs compétences : apprendre abstraitement n'est pas savoir.

C'est une connaissance. Sur le terrain, vous avez tout à apprendre ! Rien ne vaut l'expérience. 

Pratiquer cette connaissance devient un savoir-faire : ce n'est pas l'école ou la formation

qui sont importantes, c'est une référence. Cc que vous en avez fait, comment vous l'avez adapté

                                     à votre quotidien devient votre savoir-faire.

2 / Des personnes qui ont suivi une thérapie  et qui, allant mieux, croient qu'ils peuvent

                              "aider" les autres, en se substituant au thérapeute: 

            c'est certainement satisfaisant pour leur ego, mais totalement irresponsable.

                   Ce qui est valable pour une personne ne l'est pas pour une autre.

Un thérapeute a des années de pratique derrière lui et est seul compétent pour déterminer

ce qui sera le traitement correspondant au besoin du consultant et comment le pratiquer.

Pour conclure joyeusement cet article, je précise que l'exercice concerne tous les domaines

                             d'activité, et donc peut se faire chaque jour de la semaine!  

                                                Il n'y a pas de "petite " compétence.

             Et la bonne nouvelle, c'est que nous sommes tous riches en compétences!

          Amusez-vous à chercher les vôtres entre votre savoir, votre savoir-faire et

                                                              votre savoir-être.

Il arrive lors de débuts d'accompagnements que je demande au participant

de se choisir un objet qui l'ancre à son présent, lorsqu'il a tendance à s'attacher

     au passé, ou à son objectif lorsqu'il est en processus de changement de vie.

       Cet objet est un symbole qu'il  porte sur lui afin de se relier à son objectif,

                                  lorsqu'il est encore instable dans sa démarche.

             Quel serait VOTRE objet, celui qui symbolise votre épanouissement? 

                         Auriez-vous un mot sésame symbolisant votre bien-être,

                                que vous pourriez écrire, peindre sur un caillou? 

                                     Qu'aimeriez-vous vivre davantage?

                                   Plus d'Amour, plus d'harmonie, de créativité... ?

L'acceptation est la base de tout changement, paradoxal, à première vue, n'est-ce pas?

C'est savoir que l'on a fait ce que l'on a pu avec les moyens dont on disposait à ce

                                                              moment là.

Être contre soi, c'est lutter, se juger, se comparer, dramatiser, se culpabiliser,

                                                           se condamner...

S'accepter, c'est être bienveillant avec soi, dans l'empathie, la compréhension; c'est

                             mettre un baume sur le "manque" et relativiser. 

                             Accepter ses peurs, c'est aussi les apprivoiser...

                               Accepter ses faiblesses, c'est aussi s'aimer...

                                     S'accepter, c'est s'autoriser à changer.

                                                                         *

        L'accompagnement a cette douceur dans l'écoute: il accueille, propose un

positionnement, des alternatives positives, suggère des petits pas afin de tracer un

                                                  chemin de lumière en soi.  

                        Je marche à vos côtés sur ce chemin, à votre rythme.

                 Osez  être la personne libre, lumineuse qui sommeille en vous !

                                           Tous les détails sont sur mon site:

http://charlottesaintonge.e-monsite.com/pages/accompagnement.html